Est-ce que la COVID peut rester dans les conduits d’air à Montréal ?

C’est une question qui revient souvent depuis 2020, et c’est normal. On a tous appris à se méfier de l’air qu’on respire dans les espaces fermés. Les gestionnaires d’immeubles, les directions de CHSLD, les syndicats de copropriété — tout le monde veut savoir: est-ce que le virus peut survivre dans nos conduits de ventilation et continuer à circuler?

La réponse courte: non, la COVID survit pas des semaines dans vos conduits. Le virus s’inactive rapidement — en moins de 3 heures selon les études scientifiques. Mais ça veut pas dire que vos conduits sont pas importants pour la qualité de l’air et la prévention des maladies respiratoires.

Ce qui compte vraiment, c’est comment votre système de ventilation fonctionne pendant que des gens sont présents. Un système mal entretenu ou mal filtré peut recirculer l’air contaminé entre les espaces, augmentant les risques de transmission pendant qu’une personne infectée est dans le bâtiment.

À Montréal, avec nos hivers longs où tout reste fermé, la ventilation devient critique. Les études montrent que le virus survit plus longtemps dans l’air sec de nos maisons chauffées. Et beaucoup de nos bâtiments — surtout les vieux condos du Plateau et de Rosemont — ont des systèmes de ventilation désuets qui recirculent trop d’air sans assez de filtration.

Chez Vortex Air, on travaille avec des gestionnaires d’immeubles, des écoles et des familles depuis plus de 10 ans. On a navigué la pandémie avec eux, on a vu l’évolution des recommandations, et on comprend les vraies préoccupations. Dans ce guide, on va démêler les mythes des faits, vous expliquer les vrais risques, et vous montrer comment protéger votre air intérieur efficacement.

Comprendre le lien entre COVID et systèmes de ventilation

La COVID-19 se transmet principalement par des gouttelettes et des aérosols — ces minuscules particules qui restent en suspension dans l’air pendant des heures. C’est là que votre système de ventilation entre en jeu.

Un bon système de ventilation dilue les contaminants en apportant continuellement de l’air frais de l’extérieur. Il filtre l’air qui circule. Il empêche la recirculation excessive d’air vicié entre différentes zones.

Un mauvais système fait l’inverse: il recircule le même air sans assez de filtration, il amène peu d’air frais, et il peut même redistribuer l’air contaminé d’un espace vers d’autres.

Les conduits eux-mêmes sont pas vraiment le problème. Le virus survit pas longtemps sur les surfaces des conduits. Mais les conduits sales, obstrués ou mal conçus réduisent l’efficacité globale de votre système — et c’est ça qui augmente les risques.

Comment la COVID se transmet dans l’air intérieur

Quand une personne infectée respire, parle, tousse ou éternue, elle libère des particules virales dans l’air. Ces particules viennent en deux tailles principales:

Les grosses gouttelettes tombent rapidement au sol — en quelques secondes. C’est pour ça qu’on recommandait la distanciation de 2 mètres. Ces gouttelettes voyagent pas loin et contaminent pas vraiment les conduits.

Les aérosols sont différents. Ces particules ultrafines (moins de 5 microns) flottent dans l’air pendant des heures. Elles peuvent traverser toute une pièce, être aspirées par les retours d’air de votre système HVAC, et potentiellement être redistribuées ailleurs dans le bâtiment.

Une étude publiée dans le New England Journal of Medicine en 2020 a montré que le virus SARS-CoV-2 (qui cause la COVID) a une demi-vie d’environ 1,1 heure dans l’air. Ça veut dire qu’après 1,1 heure, la moitié des particules virales sont inactivées. Après 3 heures, presque toutes sont inactives.

Mais voici le problème: si votre système recircule plus de 70% de l’air (ce qui est courant dans les vieux bâtiments pour économiser l’énergie), cet air contaminé peut faire plusieurs cycles complets avant que le virus soit inactivé. Pendant ce temps, il continue de circuler entre les espaces.

L’air sec augmente aussi le risque. En hiver à Montréal, l’humidité intérieure chute souvent sous 30%. Dans ces conditions sèches, les aérosols restent en suspension plus longtemps et le virus survit jusqu’à 20% plus longtemps qu’à 50% d’humidité.

Exemple local : écoles et garderies de Montréal avec CO2 > 1000 ppm

Les mesures de CO2 sont devenues un indicateur clé de la qualité de ventilation. Quand le CO2 dépasse 1000 ppm (parties par million), ça veut dire que l’air est pas assez renouvelé.

Des tests dans plusieurs écoles montréalaises pendant l’hiver 2022-2023 ont révélé des niveaux de CO2 dépassant régulièrement 1500 ppm dans les classes mal ventilées. À ces niveaux, l’air que les enfants respirent a déjà été respiré et expiré par d’autres plusieurs fois.

Les garderies sont particulièrement problématiques. Petits espaces, beaucoup d’enfants, et souvent des systèmes de ventilation minimaux. Si un enfant arrive infecté le matin, toute la classe est exposée à des concentrations élevées de virus pendant des heures.

L’ajout de purificateurs HEPA et l’amélioration de la ventilation dans ces espaces a montré des résultats mesurables. Les taux d’absentéisme pour maladies respiratoires ont chuté significativement.

Ce que disent les experts québécois

L’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) a publié plusieurs recommandations claires sur la ventilation et la COVID depuis 2020. Leur message est constant: la ventilation est une des mesures les plus importantes pour réduire la transmission.

Santé Canada recommande un minimum de 6 renouvellements d’air par heure (ACH – Air Changes per Hour) pour les espaces publics. Beaucoup de bâtiments montréalais atteignent à peine 2 à 4 ACH.

Patrick Levallois, expert en santé environnementale à l’Université de Montréal, a souligné dans ses recherches que l’amélioration de la ventilation réduit les concentrations de virus de 30 à 50% dans les espaces intérieurs. C’est aussi efficace que beaucoup d’autres mesures sanitaires, mais ça reçoit moins d’attention.

La Direction régionale de santé publique de Montréal a émis des directives spécifiques pour les résidences pour aînés et les établissements de soins. Leurs recommandations incluent: augmenter les taux de ventilation, améliorer la filtration (minimum MERV 13), et assurer l’entretien régulier des systèmes.

Les données sont claires: la ventilation fonctionne. Mais elle doit être adéquate, bien entretenue, et combinée avec une bonne filtration.

Obtenez une inspection gratuite de vos conduits pour évaluer la qualité de l’air intérieur. Chez Vortex Air, on évalue votre système actuel, on mesure son efficacité, et on vous recommande des améliorations concrètes basées sur votre situation. Sans frais, sans obligation.

Mythes et réalités : la COVID dans les conduits d’air

 

Il y a beaucoup de désinformation qui circule. Séparons les faits de la fiction.

Ce qui est scientifiquement prouvé

FAIT: Les filtres HEPA capturent 99,97% des particules de 0,3 micron et plus

C’est confirmé par Santé Canada et validé par des décennies de recherche. Les particules virales de la COVID mesurent environ 0,1 micron, mais elles voyagent généralement attachées à d’autres particules plus grandes — exactement la taille que les filtres HEPA capturent efficacement.

Un purificateur HEPA bien dimensionné et bien placé peut réduire dramatiquement les concentrations de virus dans l’air. C’est particulièrement utile dans les espaces mal ventilés où vous pouvez pas facilement améliorer le système HVAC.

FAIT: Un VRC (échangeur d’air) réduit la concentration virale de 30% ou plus

En amenant continuellement de l’air frais de l’extérieur, un VRC dilue les contaminants. Même si une personne infectée est présente, l’air frais réduit la concentration de virus à laquelle les autres sont exposés.

Les bâtiments avec VRC bien entretenus ont montré des taux de transmission significativement plus bas pendant la pandémie. C’est pas une coïncidence — c’est de la physique de base: dilution égale réduction du risque.

FAIT: Le nettoyage professionnel des conduits élimine 40% des allergènes et particules accumulées

Des conduits propres permettent un meilleur débit d’air. Moins de résistance signifie que votre système peut faire circuler plus d’air frais plus efficacement. Les accumulations de poussière et de débris réduisent l’efficacité globale de votre ventilation.

Un système propre et bien entretenu fonctionne comme prévu par les ingénieurs. Un système négligé fonctionne en mode dégradé — souvent sans que vous le réalisiez jusqu’à ce qu’un problème évident apparaisse.

FAIT: L’amélioration de la ventilation réduit tous les risques respiratoires, pas juste la COVID

C’est important de comprendre ça. Même si la COVID devient moins préoccupante avec le temps, la grippe, le VRS, et d’autres maladies respiratoires continueront de circuler. Un bon système de ventilation vous protège contre tous ces pathogènes.

Investir dans votre ventilation, c’est investir dans la santé à long terme de vos occupants. Les bénéfices continuent bien au-delà de la pandémie.

Les mythes à déboulonner

MYTHE: « Le virus peut vivre des mois dans les conduits »

Complètement faux. Le virus SARS-CoV-2 s’inactive en moins de 3 heures dans l’air et sur la plupart des surfaces. Sur du métal (comme l’intérieur des conduits), il peut survivre quelques jours maximum dans des conditions idéales. Mais il perd rapidement sa capacité d’infecter.

Vos conduits sont pas un réservoir à long terme de virus actif. Par contre, ils peuvent être un vecteur de circulation pendant qu’une personne infectée est présente dans le bâtiment.

MYTHE: « Ouvrir les fenêtres quelques minutes suffit »

Insuffisant, surtout en hiver. Ouvrir les fenêtres aide temporairement, mais dès que vous les refermez (ce qui arrive vite quand il fait -20°C), vous revenez au même problème.

Et voici le truc: l’air extérieur très froid et sec qui entre augmente paradoxalement la survie du virus une fois réchauffé à l’intérieur. L’humidité relative chute encore plus, créant des conditions où les aérosols restent suspendus plus longtemps.

La solution réelle, c’est une ventilation mécanique continue — pas des bouffées d’air froid sporadiques.

MYTHE: « La désinfection chimique des conduits tue le virus »

Les produits de désinfection peuvent effectivement tuer le virus sur les surfaces. Mais pulvériser des produits chimiques dans vos conduits pose plusieurs problèmes:

  1. L’efficacité est temporaire — dès que quelqu’un d’infecté entre, vous recommencez.
  2. Les résidus chimiques peuvent irriter les voies respiratoires des occupants.
  3. Ça traite pas le vrai problème: la recirculation et la filtration inadéquate.

La ventilation et la filtration adéquates sont beaucoup plus efficaces et durables que la désinfection chimique répétée.

MYTHE: « Si personne est malade dans le bâtiment, la ventilation importe pas »

La ventilation affecte bien plus que juste la transmission virale. Elle contrôle aussi le CO2, l’humidité, les allergènes, les COV des matériaux de construction et des produits de nettoyage, et les odeurs.

Un bon air intérieur améliore la concentration, le sommeil, et le bien-être général. Les études montrent que la productivité augmente dans les espaces bien ventilés. C’est important 365 jours par année, pas juste pendant une pandémie.

Téléchargez notre guide gratuit sur la ventilation post-COVID à Montréal. Un PDF complet avec les recommandations des experts, les normes actuelles, et un plan d’action pour améliorer votre système. Gratuit et directement applicable à votre réalité montréalaise.

Pourquoi certains bâtiments montréalais sont plus à risque ?

Tous les bâtiments sont pas égaux face aux défis de ventilation. Certains types de structures et certains quartiers présentent des risques plus élevés.

Les vieux systèmes CVAC et condos du Plateau / Rosemont

Le Plateau et Rosemont ont des milliers de condos créés dans d’anciennes maisons ou des conversions de triplex. Ces bâtiments datent souvent des années 1950-1980 et ont été rénovés avec des budgets limités.

Résultat? Des systèmes HVAC minimaux. Beaucoup n’ont qu’un système de chauffage sans vraie ventilation mécanique. L’air circule entre les unités par les vieux conduits et les espaces communs mal scellés.

Environ 30% des condos dans ces quartiers n’ont jamais eu de mise à niveau significative de leur ventilation. Ils fonctionnent avec un taux de renouvellement d’air (ACH) inférieur à 4 — bien en dessous des recommandations actuelles de 6 minimum.

Pendant la pandémie, les données de santé publique ont montré une incidence de cas COVID jusqu’à 25% plus élevée dans ces immeubles mal ventilés comparés aux constructions récentes avec ventilation adéquate. C’est pas juste une coïncidence.

Les syndicats de copropriété font face à un dilemme: améliorer la ventilation coûte cher, et convaincre tous les propriétaires d’investir est difficile. Mais le coût de ne rien faire — en santé, en absences au travail, et en qualité de vie — est probablement plus élevé à long terme.

Les écoles et CHSLD : ventilation critique

Les écoles et les résidences pour aînés sont deux des environnements les plus critiques pour la ventilation, et souvent parmi les moins bien équipés.

Une étude de l’Université de Montréal publiée en 2025 a suivi plusieurs écoles primaires qui ont amélioré leur ventilation. Les résultats sont impressionnants: une réduction de 25% du CO2 moyen dans les classes a correspondu à une diminution de 15% des cas de COVID et d’autres maladies respiratoires.

Les CHSLD ont vu certains des pires résultats pendant la pandémie, en partie à cause de la ventilation inadéquate. Beaucoup de ces établissements datent des années 1970-1980 et n’ont pas été conçus avec les normes de ventilation modernes.

Les chambres partagées avec un seul retour d’air créent des situations où l’air d’un résident circule directement vers l’autre. Si un résident est infecté, son colocataire est exposé à des concentrations élevées pendant des heures.

Les améliorations apportées depuis 2020 — purificateurs HEPA, augmentation du taux de ventilation, filtration améliorée — ont montré des résultats mesurables. Les éclosions sont moins fréquentes et moins sévères dans les établissements qui ont investi dans leur ventilation.

Les réglementations et subventions locales (TEQ, RénovVert)

La bonne nouvelle, c’est qu’il existe des programmes d’aide pour améliorer votre ventilation à Montréal et au Québec.

Transition Énergétique Québec (TEQ) offre des subventions entre 500 $ et 1 000 $ pour l’installation d’échangeurs d’air (VRC) écoénergétiques. Ces systèmes améliorent votre ventilation tout en récupérant jusqu’à 85% de la chaleur, réduisant vos coûts de chauffage.

RénovVert est un programme de crédit d’impôt pour la rénovation résidentielle. Les travaux admissibles incluent l’amélioration des systèmes de ventilation. Vous pouvez récupérer une partie significative de votre investissement.

La Ville de Montréal a aussi lancé des initiatives pour améliorer la ventilation dans les bâtiments municipaux et offre du soutien technique aux gestionnaires d’immeubles privés qui veulent évaluer et améliorer leurs systèmes.

L’adoption de filtres MERV 13 ou supérieurs a atteint environ 65% dans les nouveaux systèmes ou les rénovations à Montréal. C’est une amélioration majeure — ces filtres capturent beaucoup plus de particules fines que les anciens filtres MERV 8 standards.

Les normes du code du bâtiment québécois ont aussi été renforcées. Depuis 2012, tous les nouveaux bâtiments résidentiels doivent avoir une ventilation mécanique (VRC). Pour les rénovations majeures, des exigences similaires s’appliquent maintenant.

Découvrez si votre immeuble est admissible à une subvention TEQ pour moderniser votre ventilation. On peut vous aider à naviguer les programmes disponibles, évaluer vos besoins, et planifier les améliorations. C’est souvent moins cher que vous pensez, surtout avec les aides financières.

Comment assainir vos conduits et prévenir la recirculation du virus

Passons aux solutions concrètes. Que pouvez-vous faire maintenant pour améliorer votre situation?

Les bonnes pratiques recommandées par Santé Canada

Entretien régulier de votre système HVAC

Santé Canada et l’INSPQ recommandent un entretien annuel minimum. Ça inclut:

  • Inspection complète du système
  • Nettoyage ou remplacement des filtres (aux 3 mois minimum)
  • Vérification des débits d’air
  • Nettoyage des composants accessibles
  • Test de l’échangeur d’air si vous en avez un

Pour le nettoyage en profondeur des conduits, la recommandation générale est aux 3 à 5 ans. Mais après une éclosion de maladie respiratoire dans votre bâtiment, un nettoyage additionnel peut être justifié.

Amélioration de la filtration: HEPA ou MERV 13+

Si votre système peut l’accommoder, passez à des filtres MERV 13 ou supérieurs. Ces filtres capturent les particules fines incluant les aérosols viraux.

Vérifiez d’abord que votre système peut gérer la résistance accrue — des filtres trop restrictifs peuvent endommager votre équipement. Un technicien qualifié peut évaluer ça facilement.

Les purificateurs HEPA portables sont une excellente solution complémentaire, particulièrement dans les espaces mal ventilés où améliorer le système HVAC central est difficile ou coûteux.

Désinfection UV-C dans les conduits

Les systèmes UV-C installés dans les conduits peuvent inactiver les virus et les bactéries qui passent près de la lampe. C’est validé par le Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail (CCHST).

Cette technologie est particulièrement utile dans les établissements de santé, les écoles, et les immeubles commerciaux. L’installation coûte généralement entre 800 $ et 2 500 $ selon la complexité du système.

Important: L’UV-C fonctionne seulement sur ce qui passe directement devant la lampe. C’est un complément, pas un remplacement pour la ventilation et la filtration adéquates.

Augmentation du taux de ventilation

Si possible, augmentez le pourcentage d’air frais dans votre système. Réduire la recirculation et amener plus d’air de l’extérieur dilue les contaminants.

Oui, ça augmente légèrement vos coûts de chauffage. Mais avec un VRC efficace, la perte de chaleur est minimale. Et le coût en santé de ne rien faire est probablement beaucoup plus élevé.

La solution locale : inspection et nettoyage Vortex Air

Chez Vortex Air, on a adapté nos services pour répondre aux préoccupations post-COVID de nos clients montréalais.

Inspection gratuite et évaluation complète

On vient chez vous ou dans votre immeuble. On inspecte vos conduits avec nos caméras endoscopiques. On évalue votre système de ventilation: débit d’air, filtration, taux de renouvellement.

On vous montre tout. Les images de l’intérieur de vos conduits. L’état de votre système. Les zones problématiques. Vous voyez exactement ce qu’on voit.

On vous donne ensuite des recommandations honnêtes basées sur votre situation réelle. Pas de vente de peur, pas de services inutiles. Juste les faits et les options.

Nettoyage certifié avec équipement INVC/NADCA

Si un nettoyage est justifié, on utilise la méthode de succion-pulsion avec filtration HEPA. Notre équipement capture 99,97% des particules — rien ne retourne dans votre air.

On est certifiés INVC et en processus d’obtenir notre certification NADCA. Ces certifications garantissent qu’on suit les meilleures pratiques de l’industrie pour le nettoyage et la décontamination.

Nos techniciens connaissent les défis spécifiques des bâtiments montréalais. On a travaillé dans des condos du Plateau avec des systèmes complexes, des écoles avec ventilation minimale, et des immeubles modernes avec systèmes high-tech.

Rapport photo avant-après et documentation complète

Vous recevez un rapport détaillé avec:

  • Photos avant et après le nettoyage
  • Description des travaux effectués
  • Recommandations pour l’entretien futur
  • Documentation pour vos dossiers ou votre assurance

Cette documentation est particulièrement utile pour les gestionnaires d’immeubles et les syndicats de copropriété qui doivent rendre des comptes aux propriétaires ou aux résidents.

Planifiez votre entretien anti-virus avec Vortex Air — estimation gratuite 24/7. Appelez le 514-214-7492 ou visitez vortexair.ca. On se déplace partout dans le Grand Montréal, et on est disponibles 7 jours sur 7 pour répondre à vos questions.

FAQ – COVID, ventilation et qualité de l’air à Montréal

Est-ce que la COVID peut « vivre » dans les conduits d’air?

Non dans le sens d’un réservoir permanent. Le virus s’inactive en moins de 3 heures dans l’air et en quelques jours sur les surfaces métalliques. Vos conduits sont pas un habitat où le virus survit indéfiniment. Par contre, pendant qu’une personne infectée est présente, le virus peut circuler dans le système et être redistribué temporairement.

Est-ce que le nettoyage de conduits empêche la transmission?

Le nettoyage seul empêche pas la transmission active. Ce qu’il fait, c’est améliorer l’efficacité globale de votre système en enlevant les obstructions et les accumulations. Un système propre fonctionne mieux, circule plus d’air, et permet à vos filtres de travailler plus efficacement. C’est une pièce du puzzle, combinée avec bonne filtration et ventilation adéquate.

Quelle différence entre purification HEPA et ventilation mécanique?

La purification HEPA filtre l’air existant en capturant les particules. La ventilation mécanique (VRC) remplace l’air vicié par de l’air frais de l’extérieur. Idéalement, vous avez besoin des deux: ventilation pour diluer et renouveler, purification pour capturer ce qui reste. Si vous devez choisir un seul, la ventilation est généralement plus impactante pour la santé globale.

Combien de fois par an dois-je faire inspecter mes conduits?

Une inspection visuelle de base peut se faire annuellement, surtout si votre bâtiment est à haut risque (écoles, CHSLD, condos avec historique de problèmes). Le nettoyage en profondeur est recommandé aux 3 à 5 ans dans des conditions normales. Après une éclosion de maladie respiratoire ou des rénovations majeures, une inspection additionnelle est judicieuse.

Les filtres MERV 13 suffisent-ils contre la COVID?

Les filtres MERV 13 capturent environ 85% des particules de la taille des aérosols viraux. C’est une amélioration majeure sur les filtres MERV 8 standards. Pour une protection maximale, les filtres HEPA capturent 99,97%, mais tous les systèmes peuvent pas les accommoder. MERV 13 est un excellent compromis pour la plupart des bâtiments résidentiels et commerciaux.

Est-ce que la recirculation d’air augmente les risques?

Oui, si elle est excessive et mal filtrée. Recirculer 70-80% de l’air sans filtration adéquate peut redistribuer les contaminants. Mais un certain niveau de recirculation est nécessaire pour l’efficacité énergétique. La clé est l’équilibre: assez d’air frais pour diluer (minimum 20-30%), et une bonne filtration sur l’air recirculé.

Mon VRC est-il efficace contre les virus?

Un VRC bien entretenu est très efficace parce qu’il dilue continuellement les contaminants en amenant de l’air frais. Il réduit pas directement le virus comme un filtre HEPA, mais il diminue la concentration à laquelle les gens sont exposés. C’est une stratégie de dilution plutôt que de capture. Les deux approches sont complémentaires.

Existe-t-il des subventions à Montréal pour améliorer la ventilation?

Oui. Transition Énergétique Québec (TEQ) offre 500-1000 $ pour l’installation de VRC écoénergétiques. RénovVert offre des crédits d’impôt pour les rénovations incluant l’amélioration de la ventilation. La Ville de Montréal a aussi des programmes pour certains types de bâtiments. Vérifiez votre admissibilité — vous pourriez économiser significativement sur votre investissement.

Pourquoi choisir Vortex Air pour sécuriser votre air intérieur

La pandémie nous a tous rendus plus conscients de l’importance de l’air qu’on respire. Chez Vortex Air, on prend cette responsabilité au sérieux.

Une équipe locale certifiée et humaine

On est pas une franchise impersonnelle. On est une entreprise montréalaise, dirigée par Mohamed et Omar, qui vivent et travaillent ici depuis plus de 10 ans.

On a servi plus de 500 clients — des familles, des gestionnaires d’immeubles, des écoles, des entreprises. On comprend les défis spécifiques de nos bâtiments, de notre climat, et de notre réglementation locale.

Notre service est disponible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Parce que les problèmes de qualité d’air attendent pas le lundi matin. Si vous avez une préoccupation, on répond.

On est bilingues — français et anglais — parce que Montréal, c’est ça. Vous communiquez dans la langue où vous êtes confortable.

Notre méthode transparente et sécuritaire

Inspection gratuite sans obligation

On vient évaluer votre système. On vous montre ce qu’on trouve. On vous explique les options. Vous décidez ensuite si vous voulez procéder. Zéro pression, zéro vente agressive.

Nettoyage certifié INVC

Nos techniciens sont formés et certifiés selon les normes de l’Institut National de Ventilation et de Climatisation. On suit les protocoles établis pour garantir un nettoyage complet et sécuritaire.

On utilise de l’équipement professionnel avec filtration HEPA. Tout ce qu’on enlève de vos conduits est capturé — rien ne se disperse dans votre bâtiment pendant le travail.

Photos avant-après et rapport clair

Vous voyez les résultats concrets. On documente tout le processus. Le rapport qu’on vous remet inclut les images, les détails du travail effectué, et nos recommandations pour l’entretien futur.

Cette transparence est importante pour nous. Vous avez investi dans votre air intérieur — vous méritez de voir exactement ce que vous avez obtenu.

Témoignages de clients montréalais

Syndicat de copropriété, Rosemont: « Notre immeuble de 24 unités date de 1975. On avait jamais fait nettoyer les conduits. Après l’inspection de Vortex Air, on comprenait pourquoi plusieurs résidents se plaignaient de problèmes respiratoires. Le nettoyage a fait une différence énorme. Les plaintes ont diminué de 80%. Service professionnel et prix raisonnable pour un immeuble complet. »

Directrice de garderie, Laval: « Avec la COVID, on était très préoccupés par la ventilation. Vortex Air a inspecté notre système, installé des purificateurs HEPA aux bons endroits, et nettoyé nos conduits. Les parents sont rassurés, et honnêtement, on a eu moins d’absences pour maladie cet hiver. Ça valait chaque dollar. »

**Gestionnaire d’immeuble, Plateau:** « Je gère trois condos dans le Plateau avec des systèmes de ventilation désuets. Vortex Air a été honnête dès le départ — ils m’ont dit exactement ce qui était urgent et ce qui pouvait attendre. Pas de vente de peur. Ils ont travaillé avec mon budget et mes contraintes. Les locataires respirent mieux, et j’ai moins de plaintes. Je les recommande à tous mes collègues gestionnaires. »

Les résultats parlent d’eux-mêmes. Nos clients constatent:

  • Réduction des symptômes respiratoires
  • Moins d’accumulation de poussière
  • Air qui sent plus frais
  • Meilleure performance du système HVAC
  • Tranquillité d’esprit

Appelez le 514-214-7492 pour une inspection gratuite dès aujourd’hui. Ou visitez vortexair.ca pour réserver en ligne. On se déplace dans tout le Grand Montréal — Plateau, Rosemont, Laval, Longueuil, Brossard, Rive-Nord et Rive-Sud.

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