Inspection de la qualité de l’air dans les commerces au centre-ville de Montréal

Vous gérez un commerce au centre-ville de Montréal? Vous avez peut-être remarqué que vos employés se plaignent de maux de tête en fin de journée, ou que certains clients commentent sur « l’air étouffant » dans votre boutique. C’est pas juste une impression. En 2024, Montréal a enregistré 34 jours de mauvaise qualité de l’air extérieur, et la situation à l’intérieur de nos commerces peut être encore pire.

La qualité de l’air intérieur (QAI) dans les espaces commerciaux, c’est sérieux. Ça touche la santé de votre équipe, le confort de vos clients, et même votre conformité légale. Pourtant, c’est souvent négligé jusqu’à ce qu’un problème éclate.

Chez Vortex Air, on travaille avec des commerces montréalais depuis plus de 10 ans. On a inspecté des boutiques sur Sainte-Catherine, des restaurants dans le Vieux-Montréal, des bureaux sur René-Lévesque. Ce qu’on constate? La majorité des propriétaires ne réalisent pas l’ampleur du problème avant qu’on leur montre les chiffres.

Pourquoi votre commerce doit prioriser la QAI dès aujourd’hui

Voici un chiffre qui devrait vous réveiller : 25 % des employés qui travaillent dans des commerces avec une QAI défaillante développent des symptômes respiratoires, des allergies ou de la fatigue chronique. C’est pas rien quand on parle de productivité et de rétention du personnel.

Dans le centre-ville de Montréal, la densité des bâtiments, la circulation automobile constante et l’âge moyen des systèmes de ventilation créent un cocktail parfait pour les problèmes de QAI. Vos clients le sentent littéralement quand ils entrent dans votre commerce.

Voici ce qui se passe concrètement quand la QAI est mauvaise. Vos employés prennent plus de congés maladie. Leur concentration diminue, les erreurs augmentent. Vos clients passent moins de temps dans votre espace, ce qui affecte directement vos ventes. Et si quelqu’un dépose une plainte à la CNESST? Vous vous retrouvez avec une inspection obligatoire et potentiellement des amendes.

La solution, c’est pas compliqué : une inspection professionnelle de la qualité de l’air. Ça vous donne un portrait clair de la situation, des chiffres concrets, et un plan d’action pour corriger les problèmes avant qu’ils coûtent cher.

Demandez un audit QAI de votre commerce au centre-ville dès maintenant — on vous donne une évaluation complète avec des recommandations claires.

Statistiques révélatrices pour les commerces du centre-ville

Les données que Vortex Air a recueillies lors de nos inspections dans le centre-ville parlent d’elles-mêmes. On mesure régulièrement des niveaux de composés organiques volatils (COV) qui dépassent de 45 % la moyenne canadienne dans les commerces de détail montréalais.

Les particules fines PM2.5? Dans 40 % des boutiques du centre-ville qu’on a testées, les niveaux dépassent 15 µg/m³, alors que Santé Canada recommande de rester en bas de 10 µg/m³. Ces particules viennent de la circulation extérieure, des produits de nettoyage, des parfums d’ambiance, et même des imprimantes et photocopieurs.

Le CO2, c’est un autre indicateur clé. Dans un commerce avec une ventilation adéquate, les niveaux devraient rester sous 1 000 ppm. On trouve régulièrement des lectures entre 1 200 et 1 800 ppm dans les boutiques du centre-ville, surtout pendant les heures de pointe.

Ce qui nous inquiète le plus? Les moisissures cachées. À cause de l’humidité et du manque de circulation d’air dans certains espaces commerciaux, on découvre souvent des colonies de moisissures derrière les murs ou dans les systèmes de ventilation. Les spores circulent dans l’air sans que personne le sache.

Mythes fréquents et vérités sur la QAI commerciale

On entend souvent des propriétaires nous dire : « J’ai mis des plantes, ça devrait régler le problème. » Désolé de briser vos illusions, mais non. Les plantes aident un peu, mais elles peuvent pas compenser un système de ventilation défaillant ou des niveaux élevés de COV.

Mythe 01 : Ouvrir les fenêtres suffit pour ventiler.

La réalité : Au centre-ville, l’air extérieur est souvent aussi pollué que l’air intérieur. Vous faites juste échanger un problème pour un autre, sans compter le gaspillage d’énergie en hiver.

Mythe 02 : Si ça sent bon, la qualité de l’air est bonne.

La réalité : Les désodorisants et parfums d’ambiance ajoutent des COV dans l’air. Certains polluants dangereux sont complètement inodores.

Mythe 03 : Mon commerce est neuf, donc pas de problème.

La réalité : Les matériaux de construction neufs relâchent justement plus de COV pendant les premières années. Les systèmes de ventilation mal calibrés dans les nouveaux bâtiments sont aussi un problème fréquent.

Mythe 04 : La ventilation mécanique coûte trop cher à faire inspecter.

La réalité : Une inspection de base coûte entre 500 $ et 1 500 $ selon la taille de votre commerce. Une amende de la CNESST pour non-conformité? Entre 1 000 $ et 10 000 $. Faites le calcul.

Éliminez les idées reçues, faites inspecter votre commerce maintenant — une évaluation honnête vaut mieux que des suppositions.

Quelles normes et obligations pour la qualité de l’air dans un commerce à Montréal

Beaucoup de propriétaires de commerces ne le savent pas, mais vous avez des obligations légales concernant la qualité de l’air intérieur. C’est pas juste une bonne pratique, c’est la loi.

L’article 51 de la Loi sur la santé et la sécurité du travail (LSST) est clair : l’employeur doit fournir un milieu de travail sain et sécuritaire. Ça inclut la qualité de l’air que respirent vos employés chaque jour. Concrètement, ça veut dire assurer un apport d’air frais d’au moins 10 litres par seconde par personne.

Le Règlement sur la santé et la sécurité du travail (S-2.1, r. 13) du Québec exige que les systèmes de ventilation mécanique soient inspectés annuellement. Pas tous les deux ans quand ça vous tente. Chaque année. Si votre commerce a un système de ventilation mécanique (et c’est le cas de la majorité des espaces commerciaux au centre-ville), vous devez le faire vérifier.

La CNESST peut débarquer suite à une plainte d’un employé ou d’un client. Si votre système de ventilation est défaillant ou si les niveaux de polluants dépassent les seuils recommandés, vous risquez des amendes et une mise en demeure de corriger la situation rapidement.

Les normes ASHRAE (American Society of Heating, Refrigerating and Air-Conditioning Engineers) servent aussi de référence au Québec. Ces normes recommandent des taux de ventilation spécifiques selon le type de commerce et le nombre d’occupants.

Assurez-vous de respecter les obligations réglementaires — planifiez votre inspection annuelle avant que la CNESST frappe à votre porte.

Normes et seuils recommandés pour la QAI

Voici les chiffres que vous devez connaître pour votre commerce. Santé Canada recommande de maintenir les niveaux de CO2 sous 1 000 ppm dans les espaces occupés. Au-dessus de ce seuil, la concentration et les capacités cognitives diminuent de façon mesurable.

  • Pour les particules fines PM2.5, l’objectif est de rester en dessous de 10 µg/m³ en moyenne sur 24 heures. Dans le centre-ville de Montréal, c’est un défi à cause de la pollution automobile, mais c’est réalisable avec une bonne filtration.
  • Les COV totaux devraient idéalement rester sous 500 µg/m³. Au-delà, on commence à voir des irritations des yeux et des voies respiratoires. Les produits de nettoyage, les parfums, les peintures et les matériaux de construction contribuent tous aux COV.
  • L’humidité relative doit se situer entre 30 % et 50 %. Trop bas, et vous avez des problèmes d’électricité statique et d’irritation des muqueuses. Trop élevé, et vous créez un environnement parfait pour les moisissures.
  • La température, c’est aussi un facteur de QAI. Entre 20 °C et 24 °C, c’est l’idéal pour la majorité des commerces. Des variations trop importantes créent de l’inconfort et peuvent indiquer des problèmes de distribution d’air.

Chez Vortex Air, on mesure tous ces paramètres lors de nos inspections. On vous donne pas juste des chiffres, on vous explique ce qu’ils signifient pour votre commerce spécifiquement.

Sanctions et litiges en cas de non-conformité

Les amendes de la CNESST pour non-conformité en matière de ventilation et de qualité de l’air varient entre 1 000 $ et 10 000 $ selon la gravité de l’infraction et si c’est une récidive. On a vu des commerces recevoir des mises en demeure avec obligation de corriger la situation dans un délai de 30 jours.

Mais l’amende, c’est juste le début. Si un employé développe des problèmes de santé liés à la mauvaise qualité de l’air, vous pourriez faire face à une réclamation à la CNESST. Ça peut entraîner des hausses de cotisations d’assurance qui vous suivent pendant des années.

Les litiges avec les clients, c’est aussi possible. On a vu des cas où des clients ont quitté des commerces à cause de l’odeur ou de symptômes allergiques, et ont ensuite laissé des avis négatifs en ligne. Dans le monde d’aujourd’hui, ça peut faire très mal à votre réputation.

Si vous louez votre espace commercial, vérifiez votre bail. Plusieurs propriétaires d’immeubles incluent maintenant des clauses sur le maintien de systèmes de ventilation fonctionnels. Si vous négligez l’entretien et que ça cause des dommages, vous pourriez être tenu responsable.

La prévention coûte toujours moins cher que les conséquences. Une inspection annuelle par Vortex Air vous protège légalement et vous donne la documentation nécessaire pour prouver votre diligence raisonnable.

Ce que comprend un audit complet de qualité de l’air pour commerce

Quand Vortex Air débarque pour inspecter votre commerce, on arrive avec des appareils de mesure calibrés et certifiés. Pas de devinettes, juste des données précises. Notre équipe de techniciens certifiés INVC (et bientôt NADCA) suit un protocole strict pour vous donner un portrait complet.

Première étape: l’inspection visuelle. On examine votre système de ventilation, on cherche les signes de moisissures, on vérifie l’état des filtres, on regarde comment l’air circule dans votre espace. On note tout, on prend des photos.

Deuxième étape: les mesures. On installe nos appareils pour mesurer le CO2, les COV, les PM2.5, l’humidité relative et la température. Selon la taille de votre commerce, on peut laisser des senseurs pendant 24 à 48 heures pour capturer les variations tout au long de la journée.

Troisième étape: l’analyse des systèmes. On vérifie les débits d’air, on mesure la pression dans les conduits, on s’assure que votre système fonctionne selon les spécifications du fabricant. C’est souvent là qu’on découvre que le système a jamais été balancé correctement depuis l’installation.

Quatrième étape: le rapport détaillé. On vous présente les résultats dans un document clair avec des graphiques, des photos, et des explications en français. Chaque problème identifié vient avec une recommandation spécifique et une estimation des coûts pour le corriger.

Cinquième étape: le plan d’action. On priorise les interventions selon l’urgence et l’impact. Certaines choses peuvent être réglées immédiatement (changer les filtres, ajuster les réglages), d’autres nécessitent des travaux plus importants.

Réservez votre audit QAI professionnel avec rapport détaillé — on vous donne tous les outils pour prendre des décisions éclairées.

Méthodologie d’inspection utilisée par Vortex Air

Notre processus, on l’a développé au fil de centaines d’inspections dans des commerces montréalais de toutes tailles. On commence toujours par écouter vos préoccupations. Vous nous dites ce qui vous inquiète, quels symptômes vos employés rapportent, quelles plaintes vous avez reçues.

Mohamed et Omar, les copropriétaires de Vortex Air, supervisent personnellement les inspections commerciales importantes. Avec plus de 10 ans d’expérience combinée, ils savent reconnaître les signes subtils que les techniciens moins expérimentés manquent.

On utilise des appareils de mesure professionnels : des détecteurs de COV portables, des compteurs de particules laser, des capteurs de CO2 avec enregistrement de données. Tout est calibré régulièrement pour garantir la précision des résultats.

La transparence, c’est notre signature. On vous montre les lectures en temps réel. On vous explique ce que chaque chiffre signifie. Si on trouve un problème, on vous montre exactement où il se situe et pourquoi c’est important de le corriger.

Le rapport final, vous le recevez dans les 48 heures suivant l’inspection. Pas dans deux semaines. Pas quand on a le temps. Dans deux jours. Parce qu’on sait que vous avez besoin de cette information rapidement pour planifier vos actions.

On reste disponibles après la remise du rapport. Vous avez des questions? On vous rappelle. Vous voulez clarifier une recommandation? On prend le temps de vous expliquer. C’est inclus dans le service, pas un extra facturé.

Technologie et monitoring (senseurs IAQ, CO2, COV)

Les senseurs intelligents de qualité de l’air, c’est plus une option de luxe. De plus en plus de commerces au centre-ville installent des systèmes de monitoring en continu. On a noté une augmentation de 25 % de l’adoption de cette technologie depuis 2023.

Ces appareils mesurent en temps réel le CO2, les COV, les PM2.5, l’humidité et la température. Les données sont envoyées sur votre téléphone ou votre ordinateur. Vous pouvez suivre la qualité de l’air dans votre commerce même quand vous êtes pas sur place.

L’avantage? Vous identifiez les tendances. Vous voyez que les niveaux de CO2 montent en flèche tous les après-midis quand votre boutique est pleine? Vous savez que votre système de ventilation arrive pas à suivre. Vous constatez des pics de COV après le ménage? Peut-être que vos produits de nettoyage sont trop agressifs.

Vortex Air peut installer des senseurs IAQ dans votre commerce et configurer le système pour vous alerter quand les seuils critiques sont dépassés. Certains systèmes peuvent même ajuster automatiquement la ventilation selon les lectures.

Le coût d’un système de base commence autour de 300 $ à 500 $ par senseur. Pour un commerce de taille moyenne, deux ou trois senseurs bien placés suffisent. C’est un investissement qui vous donne une tranquillité d’esprit et des données concrètes pour optimiser votre environnement.

Les clients apprécient aussi. On a vu des commerces afficher leurs données de QAI en temps réel sur un écran à l’entrée. Ça montre que vous prenez la santé au sérieux, que vous êtes transparent.

Améliorer la QAI de votre commerce : solutions & bonnes pratiques

Une fois que vous connaissez l’état de votre qualité de l’air, il faut agir. Les solutions varient selon les problèmes identifiés, mais certaines interventions reviennent souvent dans nos recommandations.

Le nettoyage des conduits de ventilation, c’est la base. Si vos conduits ont jamais été nettoyés depuis l’ouverture de votre commerce, il y a probablement des années d’accumulation de poussière, de débris et peut-être même de moisissures. Chez Vortex Air, on utilise des équipements professionnels pour déloger et aspirer toute cette saleté.

L’installation d’un ventilateur récupérateur de chaleur (VRC) ou d’un échangeur d’air, c’est souvent la solution pour les commerces qui manquent d’apport d’air frais. Ces systèmes apportent de l’air extérieur filtré tout en récupérant l’énergie de l’air évacué. Ça améliore la QAI sans faire exploser votre facture de chauffage.

La filtration, c’est crucial. Passer d’un filtre standard à un filtre MERV 13 ou supérieur peut réduire les particules fines de 80 % ou plus. On recommande souvent l’ajout de filtres à charbon activé pour capturer les COV et les odeurs.

Le maintien du débit d’air adéquat nécessite parfois de rebalancer votre système. On a vu des commerces où 70 % de l’air allait dans une section du local et seulement 30 % dans l’autre. Un technicien qualifié peut ajuster les registres pour une distribution uniforme.

Les sources de pollution, il faut aussi s’en occuper. Remplacez vos produits de nettoyage conventionnels par des alternatives certifiées EcoLogo. Éliminez les parfums d’ambiance synthétiques. Assurez-vous que votre photocopieur ou imprimante est dans un espace bien ventilé.

Le retour sur investissement de ces améliorations? Les études montrent que les entreprises qui améliorent leur QAI voient une réduction de 20 % à 30 % de l’absentéisme. La productivité augmente. Les économies d’énergie d’un système bien entretenu peuvent atteindre 15 % à 20 % sur vos factures annuelles.

Optimisez la QAI de votre commerce — demandez votre plan d’action personnalisé adapté à votre budget et vos priorités.

Cas pratique boutique centre-ville : résultats après audit

On vous raconte l’histoire d’une boutique de vêtements sur la rue Sainte-Catherine Ouest. La propriétaire nous a contactés parce que ses trois employées se plaignaient de maux de tête constants et d’irritation des yeux. Elle pensait que c’était peut-être les détergents utilisés pour les vêtements.

Notre inspection a révélé autre chose. Les niveaux de CO2 atteignaient 1 650 ppm pendant les heures d’ouverture. Le système de ventilation original datait de 1995 et fonctionnait à seulement 40 % de sa capacité. Les filtres avaient jamais été changés dans les deux ans depuis que la propriétaire avait acheté le commerce.

On a aussi mesuré des niveaux élevés de COV — pas à cause des détergents, mais parce que le local avait été repeint six mois plus tôt avec une peinture à base de solvants. Sans ventilation adéquate, les COV continuaient de s’accumuler.

Notre recommandation? Trois actions prioritaires. D’abord, nettoyer complètement les conduits et remplacer les composantes défaillantes du système de ventilation. Ensuite, installer un ventilateur récupérateur de chaleur pour augmenter l’apport d’air frais. Finalement, passer à des filtres MERV 13 avec remplacement trimestriel.

Coût total : 4 200 $. Dans les trois semaines suivant les travaux, les employées ont rapporté une amélioration notable. Les maux de tête ont disparu. Les mesures de suivi ont montré que le CO2 restait maintenant sous 900 ppm, et les COV avaient diminué de 60 %.

Six mois plus tard, la propriétaire nous a dit que l’absentéisme avait chuté et que les clientes commentaient positivement sur l’atmosphère du magasin. Un investissement de 4 200 $ qui s’est payé en moins d’un an en réduction de coûts et en amélioration des ventes.

Maintenance continue et monitoring pour pérenniser QAI

Améliorer la qualité de l’air, c’est pas un projet ponctuel. C’est un engagement continu. Les systèmes de ventilation nécessitent un entretien régulier pour maintenir leur performance.

Vortex Air offre des contrats d’entretien pour les commerces qui veulent s’assurer que leur QAI reste optimale toute l’année. On planifie les inspections à des moments qui dérangent pas vos opérations. On change les filtres selon un calendrier établi. On vérifie les appareils de mesure pour s’assurer qu’ils fonctionnent correctement.

Le monitoring en continu, on l’a mentionné plus tôt, c’est vraiment la meilleure approche pour les commerces sérieux au sujet de la QAI. Vous recevez des rapports mensuels qui documentent les tendances. Si un problème se développe, vous le savez immédiatement au lieu de le découvrir six mois plus tard.

On recommande aussi des inspections approfondies annuelles, même si vous avez un contrat d’entretien régulier. C’est l’occasion de faire une évaluation complète, de mettre à jour votre plan d’action, et de vous assurer que vous restez conforme aux normes réglementaires.

La documentation, gardez-la précieusement. Si vous vendez votre commerce, si vous renouvelez vos assurances, si vous faites face à une inspection de la CNESST, ces rapports démontrent votre diligence. Ça vaut de l’or.

Frequently asked questions (FAQ)

Quel est le coût moyen d’un audit QAI commerce centre-ville?

Pour un commerce de taille petite à moyenne (jusqu’à 300 m²), comptez entre 500 $ et 900 $ pour une inspection de base. Les commerces plus grands (300 à 800 m²) vont plutôt vers 1 200 $ à 1 500 $. Ça inclut les mesures sur place, l’analyse des systèmes, le rapport détaillé et les recommandations.

Si vous voulez un monitoring étendu sur 48 heures ou des tests de moisissures en laboratoire, ça peut ajouter 300 $ à 600 $ au total. Chez Vortex Air, on vous donne un prix fixe avant de commencer, sans surprises.

Mon petit commerce de 120 m² doit-il faire une inspection?

Oui, absolument. La taille change pas vos obligations légales concernant la santé de vos employés. En fait, les petits commerces ont souvent des problèmes de QAI plus aigus parce que les systèmes de ventilation sont plus modestes et l’air se renouvelle moins rapidement.

Un local de 120 m² avec trois ou quatre personnes qui y travaillent toute la journée peut facilement accumuler du CO2 et des polluants si la ventilation est inadéquate. L’inspection vous coûtera probablement autour de 500 $ à 600 $, et ça vous donnera l’heure juste sur votre situation.

Combien de temps dure une inspection QAI complète?

Pour un commerce typique du centre-ville, prévoyez 2 à 3 heures pour l’inspection initiale. Si on installe des senseurs pour un monitoring de 24 ou 48 heures, on revient chercher les appareils après. L’inspection dérange minimalement vos opérations — vous pouvez rester ouvert pendant qu’on travaille.

On essaie toujours de planifier selon votre horaire. Vous préférez qu’on vienne avant l’ouverture? Pas de problème. Après la fermeture? On est disponibles. Le dimanche? On travaille sept jours par semaine justement pour s’adapter à vous.

Est-ce que l’ouverture de fenêtres suffit pour la QAI?

Non, surtout pas au centre-ville de Montréal. Quand vous ouvrez les fenêtres, vous faites entrer la pollution automobile, les particules fines, le bruit, et vous perdez le contrôle sur la température et l’humidité. En hiver, c’est carrément impraticable — vous chauffez la rue.

Un système de ventilation mécanique avec filtration, c’est la seule solution efficace. Il apporte de l’air frais filtré, évacue les polluants intérieurs, et maintient un environnement confortable. Les fenêtres peuvent aider comme complément dans de bonnes conditions météo, mais ça remplace jamais une ventilation adéquate.

Quelles sont les principales polluants intérieurs à surveiller?

Dans les commerces du centre-ville, on retrouve principalement cinq catégories de polluants. Le CO2 vient de la respiration des occupants — c’est un indicateur de renouvellement d’air insuffisant. Les particules fines PM2.5 proviennent de l’extérieur et de sources intérieures comme les imprimantes.

Les COV sont émis par les produits de nettoyage, les peintures, les parfums, les matériaux de construction et d’ameublement. Les moisissures se développent dans les endroits humides et mal ventilés. Finalement, les allergènes comme la poussière, les acariens et les pollens qui entrent de l’extérieur.

Chaque type de polluant nécessite des solutions différentes, c’est pourquoi une inspection complète qui les mesure tous est importante.

Peut-on utiliser des subventions pour améliorer la QAI?

Bonne question. Il existe effectivement des programmes qui peuvent aider à financer les améliorations. Hydro-Québec offre des subventions pour l’amélioration de l’efficacité énergétique, et plusieurs mesures qui améliorent la QAI qualifient (comme l’installation de VRC ou l’amélioration des systèmes de ventilation).

La Ville de Montréal a aussi occasionnellement des programmes pour les commerces qui veulent améliorer leur performance environnementale. Le gouvernement fédéral offre parfois des crédits d’impôt pour les rénovations vertes.

Vortex Air peut vous orienter vers les programmes disponibles au moment de votre projet. On a aidé plusieurs clients à monter des dossiers de demande. Les règles changent régulièrement, donc on se tient à jour pour vous donner les bonnes informations.

Comment interpréter un rapport QAI (CO2, COV, PM2.5)?

Votre rapport va contenir plusieurs mesures. Pour le CO2, vous voulez voir des chiffres sous 1 000 ppm. Entre 1 000 et 1 400 ppm, c’est moyen — la ventilation devrait être améliorée. Au-dessus de 1 400 ppm, c’est problématique et nécessite une action rapide.

Les COV totaux sous 500 µg/m³, c’est acceptable. Entre 500 et 1 000, surveillez la situation et identifiez les sources. Au-dessus de 1 000, il faut agir — identifier et éliminer les sources de COV et améliorer la ventilation.

Les PM2.5 sous 10 µg/m³, c’est l’objectif. Entre 10 et 25, la filtration devrait être améliorée. Au-dessus de 25, c’est préoccupant et indique soit des sources intérieures importantes, soit une infiltration majeure d’air extérieur pollué.

Dans votre rapport Vortex Air, chaque mesure vient avec une explication en français simple et des recommandations spécifiques. On utilise un code de couleur : vert (bon), jaune (à surveiller), rouge (action requise).

À quelle fréquence recommander un audit QAI commercial?

La loi québécoise exige une inspection annuelle des systèmes de ventilation mécanique. On recommande de faire un audit QAI complet au minimum une fois par année, idéalement au printemps avant la saison chaude ou à l’automne avant l’hiver.

Si votre commerce a déjà eu des problèmes de QAI, si vous avez fait des rénovations, si vous avez changé de produits de nettoyage ou d’activités, un audit de suivi après 6 mois est une bonne idée.

Les commerces avec monitoring en continu peuvent espacer les audits complets à tous les 18 mois, puisque les senseurs vous alertent de tout changement entre-temps. Mais l’inspection physique annuelle reste importante pour vérifier l’état mécanique des systèmes.

Vous voulez respirer mieux dans votre commerce?

Vortex Air est basé à Montréal et dessert tout le centre-ville depuis plus de 10 ans. Mohamed, Omar et notre équipe de techniciens certifiés INVC vous donnent des réponses claires, des chiffres précis, et un plan d’action réaliste.

On travaille sept jours par semaine, de 7 h à 21 h. L’inspection initiale et la soumission, c’est gratuit et sans obligation. Appelez-nous au 514-214-7492 (disponible 24/7), visitez vortexair.ca, ou écrivez à info@vortexair.ca.

Votre équipe mérite de respirer un air sain. Vos clients aussi. On vous aide à y arriver.

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