Pourquoi l’air intérieur est pire l’hiver à Montréal ?

Vous l’avez sûrement remarqué: dès que le froid s’installe à Montréal, quelque chose change dans votre maison. L’air devient sec, oppressant. Votre gorge pique le matin. Vos enfants toussent plus. Et cette sensation d’étouffement qui apparaît dès que vous fermez les fenêtres pour l’hiver.

C’est pas votre imagination. L’air intérieur se dégrade vraiment pendant l’hiver québécois.

Les chiffres sont frappants: on passe environ 90% de notre temps à l’intérieur pendant les mois froids. Et pendant ces longues périodes enfermés, on respire un air qui peut être jusqu’à 5 fois plus pollué que l’air extérieur. Le taux d’humidité chute souvent sous 30% dans nos maisons chauffées — bien en dessous du minimum recommandé de 40%.

À Montréal, avec nos hivers qui durent six mois et nos températures qui plongent régulièrement sous -20°C, on vit dans des environnements hermétiquement fermés pendant une bonne partie de l’année. Cette réalité climatique unique crée des défis spécifiques pour la qualité de notre air intérieur.

Chez Vortex Air, on aide les familles montréalaises à respirer mieux depuis plus de 10 ans. On connaît ces défis hivernaux intimement. Dans ce guide, on va vous expliquer pourquoi votre air intérieur se dégrade l’hiver, et surtout, ce que vous pouvez faire pour y remédier.

Comprendre le phénomène : pourquoi l’hiver aggrave la qualité de l’air intérieur

L’hiver montréalais transforme radicalement nos maisons. Ce qui était un espace aéré et confortable en été devient un environnement fermé où l’air stagne pendant des mois.

Le chauffage constant assèche l’air. Vos systèmes de chauffage — que ce soit électrique, au gaz, ou au bois — font monter la température, mais l’humidité relative chute dramatiquement. L’air chaud peut contenir plus d’humidité, mais quand vous chauffez de l’air froid et sec, vous obtenez de l’air chaud et encore plus sec.

Les fenêtres restent fermées de novembre à avril. C’est six mois sans renouvellement d’air naturel. Chaque personne qui respire, chaque activité de cuisson, chaque produit de nettoyage — tout ça ajoute des contaminants à un volume d’air qui se renouvelle très peu.

L’isolation moderne, c’est une épée à double tranchant. Nos maisons sont de mieux en mieux isolées pour économiser l’énergie — c’est excellent pour la facture d’électricité. Mais cette étanchéité emprisonne aussi les polluants à l’intérieur. Ce qui était un avantage pour votre portefeuille devient un désavantage pour vos poumons.

Le chauffage au bois reste populaire dans plusieurs quartiers de Montréal, particulièrement dans l’est de la ville. Cette combustion libère des particules fines qui s’infiltrent même dans les maisons voisines quand la fumée stagne par temps froid et calme.

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Les facteurs techniques et climatiques à Montréal

Les particules fines PM2.5 atteignent des concentrations moyennes d’environ 15 µg/m³ pendant l’hiver à Montréal. C’est significativement plus élevé que les autres saisons. Ces particules microscopiques proviennent du chauffage, de la cuisson, et même de la circulation extérieure qui s’infiltre dans nos maisons.

Dans les quartiers de l’est de Montréal où le chauffage au bois est plus répandu, les niveaux de pollution peuvent augmenter de 15% ou plus les soirs froids d’hiver. Quand la fumée de plusieurs foyers stagne à cause d’une inversion thermique, toute la zone respire un air plus pollué.

La ventilation insuffisante est le cœur du problème. Beaucoup de maisons à Montréal, surtout celles construites avant 2012, n’ont pas de ventilation mécanique adéquate. Elles dépendent de l’infiltration naturelle d’air — qui est minimale en hiver quand tout est calfeutré.

Le code du bâtiment a changé en 2012, exigeant des échangeurs d’air (VRC) dans les nouvelles constructions. Mais des milliers de maisons plus anciennes n’en ont pas. Ces résidences accumulent l’air vicié tout l’hiver sans système pour le renouveler efficacement.

L’humidité intérieure sous 30% transforme votre maison en désert. Vos muqueuses nasales s’assèchent et deviennent plus vulnérables aux infections. La poussière et les particules restent en suspension plus longtemps dans l’air sec. Les virus survivent plus longtemps sur les surfaces quand l’humidité est basse.

La condensation autour des fenêtres pendant l’hiver crée des zones humides localisées — parfaites pour la croissance de moisissures. Ces moisissures libèrent des spores qui circulent ensuite dans toute la maison via votre système de ventilation.

Impact sur la santé : allergies, asthme et vulnérables

Les enfants de moins de 5 ans sont particulièrement sensibles. Leur système respiratoire en développement réagit plus fortement aux irritants. Si votre enfant a plus de rhumes l’hiver ou développe une toux persistante, la qualité de l’air intérieur en est souvent une cause majeure.

Les personnes asthmatiques voient leurs symptômes s’aggraver considérablement. L’air sec irrite les voies respiratoires. Les allergènes comme les acariens et les squames d’animaux se concentrent dans l’air stagnant. Les déclencheurs se multiplient exactement quand les gens passent le plus de temps à l’intérieur.

Les aînés et les personnes immunodéprimées courent des risques accrus. Leur capacité à combattre les infections respiratoires est déjà compromise. Respirer un air chargé de contaminants pendant des mois affaiblit davantage leur système immunitaire.

L’humidité intérieure sous 30% augmente l’irritation des voies respiratoires de façon mesurable. Vos muqueuses nasales se dessèchent, saignent parfois. Votre gorge devient irritée. Vos yeux piquent. Ce sont tous des signes que votre air est trop sec.

Les maux de tête récurrents, la fatigue chronique, et les difficultés de concentration peuvent tous être liés à une mauvaise qualité d’air intérieur. Ces symptômes vagues qu’on attribue souvent au « blues de l’hiver » ont parfois une cause très concrète et réparable.

Réservez un diagnostic qualité de l’air gratuit à Montréal. Chez Vortex Air, on vient chez vous, on évalue votre situation spécifique, et on vous donne des recommandations honnêtes. Vous méritez de savoir ce que votre famille respire.

Mythes vs réalités : ce que vous devez vraiment savoir

Il y a beaucoup de confusion sur la qualité de l’air intérieur en hiver. Démêlons le vrai du faux.

Vérités incontournables selon les experts

VÉRITÉ: Un échangeur d’air (VRC) réduit les contaminants de 40%

Les études montrent que la ventilation mécanique avec récupération de chaleur diminue significativement les concentrations de polluants intérieurs. Un VRC bien entretenu renouvelle votre air tout en récupérant jusqu’à 85% de la chaleur — vous respirez mieux sans geler ou payer une fortune en chauffage.

L’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) recommande la ventilation mécanique comme stratégie principale pour maintenir une bonne qualité d’air intérieur, particulièrement dans nos maisons modernes bien isolées.

VÉRITÉ: Les VRC sont obligatoires depuis 2012 dans les nouvelles constructions à Montréal

Le code du bâtiment québécois exige des systèmes de ventilation mécanique dans toutes les nouvelles résidences depuis 2012. C’est une reconnaissance officielle que nos maisons sont devenues trop étanches pour compter uniquement sur la ventilation naturelle.

Si vous vivez dans une maison construite avant 2012, vous avez probablement pas de VRC. C’est un investissement à considérer sérieusement pour votre santé hivernale.

VÉRITÉ: L’air intérieur peut être 2 à 5 fois plus pollué que l’air extérieur

Santé Canada et l’Agence de protection environnementale américaine (EPA) confirment ce fait troublant. En hiver, quand les maisons sont fermées, cette différence atteint souvent le haut de cette fourchette. Vous pensez vous protéger du froid en restant dedans, mais vous vous exposez potentiellement à plus de pollution.

VÉRITÉ: Le nettoyage régulier des conduits améliore significativement la qualité de l’air

Des conduits propres permettent une meilleure circulation d’air et réduisent la recirculation de poussière, d’allergènes et de contaminants. C’est particulièrement important en hiver quand votre système fonctionne constamment et que vous dépendez entièrement de l’air recyclé.

Mythes courants à déboulonner

MYTHE: « Le chauffage électrique produit de l’air pur »

Faux. Le chauffage électrique assèche l’air et force la recirculation de l’air intérieur déjà contaminé. Il produit pas de combustion, c’est vrai, mais ça veut pas dire que votre air est pur. Tous les contaminants déjà présents — poussière, allergènes, COV des meubles et produits de nettoyage — continuent de circuler.

MYTHE: « Ouvrir les fenêtres 5 minutes par jour suffit »

Insuffisant. Cinq minutes d’aération par jour renouvelle à peine une fraction de l’air de votre maison. Pour un renouvellement adéquat, vous auriez besoin d’ouvrir vos fenêtres plusieurs heures — ce qui est impratique (et dispendieux en chauffage) quand il fait -20°C dehors.

MYTHE: « Si je change mes filtres régulièrement, mon air est bon »

Les filtres standard de fournaise capturent la grosse poussière, mais laissent passer les particules fines PM2.5 et la plupart des allergènes. Et ils font rien pour les COV ou l’excès de CO2. Changer vos filtres, c’est important, mais c’est juste une partie de la solution.

MYTHE: « L’air intérieur est toujours plus sain que l’extérieur en hiver »

Complètement faux. Même par temps de smog extérieur, l’air intérieur peut être pire si votre maison manque de ventilation. Vous accumulez les contaminants jour après jour sans renouvellement adéquat.

MYTHE: « Les plantes d’intérieur purifient suffisamment l’air »

Les plantes aident marginalement, mais vous auriez besoin de dizaines de plantes par pièce pour avoir un impact mesurable sur la qualité de l’air. C’est un complément agréable, pas une solution.

Téléchargez notre guide gratuit « Améliorer votre QAI cet hiver ». Un PDF pratique avec des conseils actionnables, une checklist saisonnière, et des explications sur les technologies de ventilation. Gratuit, en français, et directement applicable à la réalité montréalaise.

Environment Canada issues special air quality statement for Windsor-Essex

Solutions pratiques pour améliorer l’air chez vous cet hiver à Montréal

Assez parlé des problèmes. Voici ce que vous pouvez faire concrètement.

Interventions technologiques et entretien régulier

Installez un échangeur d’air (VRC) si vous en avez pas

Environ 70% des nouveaux logements à Montréal sont maintenant équipés d’un VRC. Si votre maison date d’avant 2012 et que vous en avez pas, c’est l’investissement le plus impactant que vous pouvez faire.

Un VRC renouvelle continuellement votre air intérieur tout en récupérant la chaleur de l’air sortant. Vous gardez une maison fraîche en air sans perdre votre chaleur. Le coût d’installation varie entre 2 000 $ et 4 000 $, mais le retour sur investissement en santé et en économies d’énergie se fait sentir rapidement.

Transition Énergétique Québec (TEQ) offre parfois des subventions pour l’installation de systèmes de ventilation écoénergétiques. Vérifiez les programmes disponibles — vous pourriez économiser significativement.

Utilisez un purificateur d’air HEPA dans les pièces principales

Un bon purificateur HEPA capture 99,97% des particules de 0,3 micron. Placez-en un dans votre chambre et un dans votre salon — les espaces où vous passez le plus de temps. Assurez-vous que la capacité du purificateur correspond à la taille de votre pièce.

Changez les filtres selon les recommandations du fabricant. Un filtre saturé devient inefficace et peut même relâcher des contaminants.

Maintenez l’humidité entre 40% et 50%

Utilisez un humidificateur pour compenser l’assèchement causé par le chauffage. Un hygromètre (15-20 $ dans n’importe quelle quincaillerie) vous permet de surveiller le taux d’humidité.

Attention: trop d’humidité (plus de 60%) encourage les moisissures. Trouvez le juste équilibre. Si vous voyez de la condensation excessive sur vos fenêtres, réduisez l’humidification.

Changez vos filtres de fournaise aux 3 mois en hiver

Quand votre système fonctionne constamment, les filtres se colmatent plus rapidement. Un filtre saturé réduit l’efficacité de votre système et peut recirculer de la poussière. Investissez dans des filtres MERV 11 ou 13 pour une meilleure capture des particules fines.

Faites vérifier votre système de ventilation avant l’hiver

Un entretien préventif à l’automne garantit que votre système fonctionne optimalement pendant les mois critiques. Un technicien peut détecter des problèmes de débit d’air, des fuites dans les conduits, ou des composants défaillants avant qu’ils causent des problèmes.

Le rôle de l’entretien de vos systèmes de ventilation (service Vortex Air)

Vos conduits de ventilation accumulent de la poussière, des allergènes et des contaminants au fil des années. En hiver, quand votre système fonctionne 24/7, ces accumulations se dispersent continuellement dans votre air.

Le nettoyage professionnel de conduits enlève ces contaminants à la source. Chez Vortex Air, on utilise la méthode de succion-pulsion avec filtration HEPA. On décolle et on aspire tout ce qui s’est accumulé dans votre réseau — la poussière, les squames d’animaux, les débris, et même les moisissures si présentes.

La décontamination de vos systèmes HVAC va au-delà du simple nettoyage. Si on détecte de la moisissure ou une contamination biologique, on applique des désinfectants approuvés par Santé Canada pour assainir complètement votre système.

L’entretien de votre échangeur d’air (VRC) est crucial. Les filtres doivent être nettoyés ou remplacés régulièrement. Le noyau échangeur doit être inspecté et nettoyé annuellement. Un VRC mal entretenu devient inefficace et peut même devenir une source de contamination.

Nos techniciens certifiés INVC inspectent tout votre système avec des caméras endoscopiques. Vous voyez exactement ce qu’on voit. On vous explique l’état de vos conduits, on identifie les problèmes potentiels, et on vous recommande uniquement ce qui est vraiment nécessaire.

Le timing idéal? L’automne, avant que le chauffage parte à plein régime. Vous commencez l’hiver avec un système propre et efficace qui distribuera de l’air sain pendant les six mois à venir.

Planifiez un entretien complet de vos conduits et systèmes de ventilation — obtenez un devis gratuit. Appelez le 514-214-7492 ou visitez vortexair.ca. On se déplace dans tout le Grand Montréal, 7 jours sur 7.

Quand faut-il agir ? Le calendrier recommandé pour l’hiver à Montréal

Le timing de vos interventions fait toute la différence entre subir l’hiver et respirer confortablement.

Routine d’entretien vs interventions urgentes

Entretien préventif: automne (septembre-octobre)

C’est le moment idéal pour:

  • Faire nettoyer vos conduits de ventilation
  • Faire inspecter et entretenir votre VRC
  • Installer un nouvel équipement si nécessaire
  • Tester vos systèmes avant qu’ils fonctionnent à pleine capacité

Planifier à l’automne vous garantit de la disponibilité. Une fois que l’hiver s’installe, tout le monde appelle en même temps et les délais s’allongent.

Entretien régulier: tous les 3 à 5 ans

Pour le nettoyage de conduits, la recommandation générale est aux 3 à 5 ans. Mais certaines situations justifient un nettoyage plus fréquent:

  • Présence d’animaux domestiques: aux 2-3 ans
  • Allergies ou asthme dans la famille: aux 2-3 ans
  • Fumeurs dans la maison: aux 2-3 ans
  • Humidité excessive ou historique de moisissures: aux 2-3 ans

Interventions urgentes: dès que nécessaire

Agissez immédiatement si:

  • Vous détectez une odeur de moisi dans l’air soufflé
  • Vous voyez de la moisissure autour des grilles
  • Votre famille développe des symptômes respiratoires nouveaux ou aggravés
  • Vous avez eu un dégât d’eau ou une inondation (même mineure)
  • Votre débit d’air diminue significativement

Après une inondation, même en hiver, la décontamination des conduits doit se faire dans les 48 heures. L’eau crée les conditions parfaites pour la prolifération rapide de moisissures, même par temps froid.

Zones de Montréal à risque plus élevé cet hiver

Certains quartiers et types de logements font face à des défis particuliers.

Est de Montréal et quartiers avec chauffage au bois répandu

Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, Pointe-aux-Trembles et certains secteurs d’Anjou ont des concentrations plus élevées de particules fines en hiver. Si vous habitez dans ces zones, investir dans un bon purificateur HEPA devient encore plus important.

Ahuntsic, Rosemont, Villeray — vieilles maisons sans VRC

Ces quartiers ont beaucoup de maisons construites avant 2012, souvent sans ventilation mécanique adéquate. L’isolation a parfois été améliorée au fil des ans, rendant ces maisons plus étanches sans pour autant ajouter de ventilation. C’est la recette parfaite pour l’air vicié.

Sous-sols et logements au rez-de-chaussée partout à Montréal

Les sous-sols sont naturellement plus humides et moins bien ventilés. En hiver, quand on chauffe, l’humidité relative peut varier dramatiquement entre le sous-sol et les étages supérieurs. Les logements en sous-sol ou semi-sous-sol nécessitent une attention particulière à la ventilation et au contrôle de l’humidité.

Rive-Nord (Laval, Terrebonne, Mascouche) et Rive-Sud (Longueuil, Brossard)

Les banlieues ont souvent des maisons plus récentes avec VRC, mais elles sont aussi souvent plus grandes et nécessitent des systèmes de ventilation bien dimensionnés et bien entretenus. Une grande maison avec un VRC sous-dimensionné ou mal entretenu n’est pas mieux ventilée qu’une petite maison sans VRC.

Profitez de notre offre hiver: inspection + nettoyage à tarif spécial. Jusqu’au 31 décembre 2025, on offre un forfait inspection complète + nettoyage de conduits à prix avantageux. C’est le moment parfait pour préparer votre maison à respirer mieux tout l’hiver.

FAQ – Tout savoir sur l’air intérieur en hiver à Montréal

Pourquoi mon logement semble-t-il plus « étouffant » l’hiver à Montréal?

Cette sensation vient de la combinaison d’air sec, d’air stagnant et de concentrations élevées de CO2. Quand votre maison est fermée hermétiquement, le CO2 que vous expirez s’accumule. Combiné à l’air sec du chauffage et au manque de renouvellement d’air frais, ça crée cette impression d’étouffement. Un VRC ou même simplement ouvrir une fenêtre quelques minutes peut soulager temporairement.

Quelle est la différence entre purification d’air et ventilation mécanique?

La purification filtre l’air existant pour enlever les particules, mais ne renouvelle pas l’air. La ventilation mécanique (VRC) échange l’air vicié contre de l’air frais extérieur tout en récupérant la chaleur. Idéalement, vous avez besoin des deux: ventilation pour renouveler l’air et diluer les contaminants, purification pour capturer les particules fines. Mais si vous devez choisir, la ventilation est plus importante.

Est-ce que l’installation d’un VRC suffit à garantir un bon air intérieur?

Un VRC bien dimensionné et bien entretenu améliore considérablement votre qualité d’air, mais c’est pas une solution magique complète. Vous devez quand même: contrôler les sources de pollution (produits de nettoyage, cuisson), maintenir une humidité adéquate, changer vos filtres régulièrement, et faire nettoyer vos conduits périodiquement. Le VRC est la fondation, mais la qualité d’air intérieur nécessite une approche globale.

Mon enfant a plus d’allergies l’hiver: l’air intérieur y est-il pour quelque chose?

Très probablement, oui. En hiver, les allergènes comme les acariens et les squames d’animaux se concentrent dans l’air intérieur stagnant. L’air sec irrite les muqueuses nasales, les rendant plus réactives. Et votre enfant passe 90% de son temps à l’intérieur, exposé continuellement à ces allergènes. Améliorer votre ventilation et contrôler l’humidité peut réduire dramatiquement les symptômes.

À quelle fréquence dois-je faire inspecter et nettoyer mes conduits d’aération?

L’inspection peut se faire annuellement si vous avez des facteurs de risque (animaux, allergies, humidité). Le nettoyage complet est recommandé aux 3 à 5 ans pour la plupart des maisons. Si c’est votre première fois ou si vous avez jamais fait nettoyer depuis l’achat de la maison, faites-le dès que possible — vous serez surpris de ce qui s’y cache.

Comment savoir si mon appartement ou maison est à haut risque QAI à Montréal?

Vous êtes à haut risque si: votre maison date d’avant 2012 sans VRC, vous avez des animaux, quelqu’un fume à l’intérieur ou près des portes, vous utilisez beaucoup de produits parfumés ou de nettoyage, votre sous-sol est humide, vous avez eu des infiltrations d’eau, ou des membres de votre famille ont des allergies ou de l’asthme. Si plusieurs de ces facteurs s’appliquent, une inspection professionnelle est fortement recommandée.

Y a-t-il des subventions ou programmes à Montréal pour améliorer la QAI?

Transition Énergétique Québec offre parfois des subventions pour l’installation de systèmes de ventilation écoénergétiques. La Ville de Montréal a aussi occasionnellement des programmes d’aide pour l’amélioration résidentielle. Renseignez-vous auprès de votre arrondissement ou consultez le site de TEQ. Les programmes changent régulièrement, mais l’aide financière existe souvent pour les investissements en efficacité énergétique et qualité d’air.

Quels sont les signes visibles/invisibles d’un problème de qualité d’air intérieur?

Signes visibles: Poussière excessive qui revient rapidement, taches de moisissure autour des fenêtres ou grilles, condensation excessive sur les vitres, odeurs de moisi ou de renfermé.

Signes invisibles: Augmentation des symptômes d’allergies ou d’asthme, toux persistante surtout le matin, maux de tête récurrents, fatigue chronique, irritation des yeux et de la gorge, difficulté à se concentrer. Ces symptômes s’améliorent souvent quand vous sortez de la maison — c’est un indice fort que le problème vient de l’intérieur.

Pourquoi choisir Vortex Air pour améliorer votre air intérieur cet hiver à Montréal

L’hiver montréalais est assez difficile comme ça. Vous méritez de respirer confortablement chez vous.

Notre expertise locale à Montréal et environs

On est pas juste une entreprise qui nettoie des conduits. On est des Montréalais qui comprennent intimement les défis de notre climat.

Avec plus de 10 ans d’expérience combinée, on a travaillé dans tous les types de bâtiments: vieilles maisons de Rosemont sans VRC, condos neufs de Brossard avec systèmes high-tech, bungalows de Laval, plex du Plateau. On connaît les problèmes spécifiques à chaque type de construction.

On a servi plus de 500 clients satisfaits dans le Grand Montréal. Des familles qui voulaient juste respirer mieux, des aînés qui en avaient marre de tousser tout l’hiver, des parents inquiets pour leurs enfants asthmatiques.

Notre service est bilingue — français et anglais — parce que Montréal, c’est ça. Vous êtes confortable dans la langue de votre choix.

On est disponibles 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Les problèmes de qualité d’air attendent pas le lundi matin. Si vous détectez une odeur suspecte un dimanche soir, on répond.

Certifications & transparence

Nos techniciens sont certifiés INVC (Institut National de Ventilation et de Climatisation). On est aussi en processus d’obtenir notre certification NADCA. Ces certifications garantissent qu’on suit les meilleures pratiques de l’industrie et qu’on reste à jour avec les techniques et standards.

Notre processus est complètement transparent:

  1. Free inspection — On vient chez vous, on inspecte vos conduits avec nos caméras endoscopiques, on vous montre exactement ce qu’on voit. Vous voyez les images en temps réel.
  2. Devis clair et détaillé — On vous explique ce qui est nécessaire et pourquoi. Le prix qu’on vous donne inclut tout — pas de frais cachés, pas de suppléments surprise.
  3. Travail professionnel — On protège vos planchers et meubles, on utilise de l’équipement HEPA de qualité commerciale, on respecte votre maison.
  4. Rapport photo avant-après — Vous voyez les résultats concrets. Des conduits propres, un système qui respire mieux. La preuve visuelle que votre investissement en valait la peine.

On garantit notre travail. Si vous êtes pas satisfait, on revient corriger la situation. Notre réputation locale dépend de votre satisfaction — on prend ça très au sérieux.

Témoignages & résultats

Caroline, Rosemont: « Mon fils de 4 ans faisait de l’asthme tout l’hiver. On savait plus quoi faire. Vortex Air est venu inspecter nos conduits — la caméra a montré des années d’accumulation. Après le nettoyage, c’était comme une maison différente. Mon fils a passé son premier hiver sans crise d’asthme. Je recommande à tout le monde. »

Michel, Laval: « Notre maison date de 1985, jamais eu de VRC. L’hiver, c’était toujours étouffant. Mohamed de Vortex Air nous a conseillé sur un VRC et a nettoyé nos conduits en même temps. La différence est incroyable. On respire, on dort mieux, et notre facture de chauffage a même baissé. Service A1. »

Nathalie, Brossard: « J’avais peur que ce soit juste une arnaque, mais l’inspection gratuite m’a convaincue. Ils m’ont montré avec la caméra ce qui se cachait dans mes conduits. Honnêtes, professionnels, et le prix était exactement ce qu’ils avaient dit. Aucune surprise. Cinq étoiles. »

Les résultats parlent d’eux-mêmes. Nos clients rapportent régulièrement:

  • Réduction de 30-50% des symptômes d’allergies
  • Meilleure qualité de sommeil
  • Moins de poussière dans la maison
  • Air qui sent plus frais
  • Diminution de la consommation d’énergie

Appelez le 514-214-7492 pour une inspection gratuite immédiate. Ou visitez vortexair.ca pour réserver en ligne

 

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